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Forum littéraire Bernard Pivot - Le Livre sur la Place

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Le Prix Stanislas du meilleur premier roman de la rentrée littéraire valorise depuis 2016 des auteurs émergents de la littérature française. L’occasion de mettre en lumière les voix qui compteront dans les années à venir.
Présidé cette année par la romancière Valérie Perrin, le jury composé de Nathalie Broutin, Clara Dupont-Monod, Baptiste Liger, Daniel Picouly, Pierre Vavasseur et de huit salariés de Groupama a sélectionné neuf primoromanciers, invités et programmés au Livre sur la Place.
Grâce à la complicité du Théâtre de la Manufacture, trois comédien(ne)s, Aurore Déon, Étienne Guillot et Julia Vidit, prêteront leur voix aux premières pages de ces neuf premiers romans. Ces lectures seront suivies d’une rencontre avec les auteurs.

SAMEDI 14 SEPTEMBRE

→ 10h30 > 11h : Justin Morin
On n’est plus des gens normaux (La Manufacture de Livres)
Premières pages lues par Étienne Guillot
En 2017, P. fonce avec sa voiture sur la terrasse d’un restaurant. Il y aura un mort et des blessés. Du récit du procès qu’il a couvert, le journaliste Justin Morin va combler les vides par la fiction pour comprendre ce qui fait basculer deux familles, celle du coupable et celle de la victime, dans l’horreur.

→ 11h30 : Remise du Prix Stanislas au Forum Littéraire Bernard Pivot

→ 12h30 > 13h : Alice Develey
Tombée du ciel (L’Iconoclaste)
Premières pages lues par Aurore Déon
C’est comme un journal intime, celui d’Alice, 14 ans, enfermée à l’hôpital à cause de son anorexie. Entre les traitements révoltants, l’enfermement, la maladie, la jeune fille tente de trouver des espaces de liberté et mène un combat entre la volonté de vivre et l’envie de se détruire.

→ 13h30 > 14h : Virginia Tangvald
Les enfants du large (JC Lattès)
Premières pages lues par Julia Vidit
Une orpheline à qui la mer a pris le père, la sœur et le frère reconstitue son histoire familiale déchirante, éparpillée sur les quatre océans.

→ 17h30 > 18h : Agnès Jésupret
Les os noirs (Liana Levi)
Premières pages lues par Aurore Déon
Agnès Jésupret trace le récit tragique d’une famille de migrants italiens prise dans le tourbillon d’un pan de la grande Histoire tunisienne passé sous silence. Un texte authentique et haletant.

→ 18h30 > 19h : Célestin de Meeûs
Mythologie du .12 (Sous-sol)
Premières pages lues par Julia Vidit
Un soir d’été, deux jeunes hommes qui ont enchaîné bières sur joints vont croiser le chemin d’un médecin dont la vie de famille vient d’exploser. C’est un soir où tout bascule vers la violence.

DIMANCHE 15 SEPTEMBRE

→ 12h > 12h30 : Martial Cavatz
Les caractériels (Alma)
Premières pages lues par Aurore Déon
Quand la vie commence dans une famille dysfonctionnelle dans la cité bisontine « Les 408 » et qu’on est malvoyant, on peut croire qu’elle n’est pas gagnée. Et même si les débuts tournent mal, on tombe parfois sur une institution qui permet de s’émanciper, de faire de sa déficience une force. Un roman touchant qui questionne les racines, l’identité et la classe sociale.

→ 13h30 > 14h : Ruben Barrouk
Tout le bruit du Guéliz (Albin Michel)
Premières pages lues par Julia Vidit
Ruben Barrouk raconte le voyage d’une famille à Marrakech pour retrouver la grand-mère. Ce périple traverse le temps et rappelle une époque de coexistence harmonieuse entre les Juifs et les Musulmans marocains.

→ 15h > 15h30 : Louise Bentkowski
Constellucination (Verdier)
Premières pages lues par Étienne Guillot
Un premier texte ovni dans cette rentrée littéraire, tout comme son titre ! Flashes de réel, de poésie, de mythologie, il reflète une histoire de famille entre passé et futur mais aussi un besoin furieux de s’ouvrir au monde.

→ 16h30 > 17h : Nicolas Martin
Fragile/s (Au diable vauvert)
Premières pages lues par Étienne Guillot
Dans un futur pas si lointain, les naissances sont rares, plus encore quand elles sont saines. Nicolas Martin décrit avec efficacité le programme mis en place par le gouvernement pour optimiser ces naissances. Une chance ? Pas si sûr, en tous cas pour les femmes qui en bénéficient.